Jouez la comme Gwyneth Paltrow ou Novak Djokovic, mais pas au cinéma, ni au tennis, non… jouez-la sans gluten.

Le gluten est une substance protéique, que l’on trouve dans les graines de blé, d’orge ou de seigle. Il est constitué principalement de deux protéines, Gliadine et Gluténine, qui ont l’incroyable pouvoir de se transformer au contact de l’eau. Gliadine a le pouvoir de viscosité, et Gluténine d’élasticité. Gluten signifie d’ailleurs « colle » en latin. Le gluten est ainsi ce qui permet à votre boulanger d’obtenir une pâte élastique et de vous servir un pain aérien. Mais alors, où est le problème ?

Certains, comme notre cher Novak, font une intolérance totale au gluten. Le gluten fragilise les parois intestinales, et les nutriments comme le fer, les vitamines ou le calcium sont mal absorbés ce qui peut provoquer de graves carences. Dans ce cas, la question ne se pose pas ; la seule solution est de le supprimer de votre alimentation, sinon vous risqueriez d’être subitement pris de difficultés respiratoires, de vertiges, et de perdre en quart de finale de grand chelem face à Jo-Wilfried Tsonga, ce qui serait vraiment dommage.

Pour la sublime Gwyneth, et la majorité des adeptes du sans gluten, il s’agit plus d’un choix de vie detox. Car le gluten peut être à l’origine de pas mal de choses, comme les troubles du sommeil, les maux de tête, les troubles digestifs ou tout simplement un état de fatigue prolongée. Le seul moyen de savoir si le gluten joue sur votre humeur au quotidien, c’est d’essayer de s’en passer. En quelques semaines seulement, vous serez fixé.

Pour cela rien de mieux que Chambelland, la première boulangerie bio 100% sans gluten de Paris. Parce qu’il ne faudrait pas oublier l’essentiel: c’est très bon. Même Alain Ducasse le sait, puisqu’il sert les pains Chambelland au Plaza Athénée.

Sans gluten, c’est avec de la farine de riz, et le riz, Thomas Chambelland il connaît. Au point de l’acheter lui-même à de petits producteurs camarguais minutieusement sélectionnés, et pour ne rien laisser au hasard, d’avoir fait construire en Provence son propre moulin en collaboration avec Stephane Pichard.

Du pain moelleux, des chouquettes légères, des pâtisseries qu’on n’a pas seulement envie de regarder – mentions spéciales pour la tarte au citron sans matières grasses et le fondant au chocolat Kaoka. Tout cela peut être dégusté sur place et sur formica, dans un coin café, ou à la terrasse ensoleillée, au cœur du village Popincourt à Paris.

 

Boulangerie Chambelland
14 rue Ternaux, Paris 11

 

_{photos :  Aldo Sperber}

Abondants, savoureux, nutritifs, riches en protéines, en nutriments, en acides gras, en fibre et en oligoéléments, les insectes se retrouvent sur les tables de près de 2 milliards de personnes. Des inconscients ? Pas vraiment.

80% des pays de la planète comptent les insectes parmi leur alimentation de base, avec en tête la Chine, la Mongolie, le Mexique ou l’Inde qui abritent entre 200 et 300 espèces comestibles. C’est vrai qu’en France, avec nos 25 espèces comestibles, les coléoptères, lépidoptères et autres orthoptères ne sont pas près de détrôner le bœuf bourguignon ou la blanquette de veau. Mais peut-être que pour l’apéro, entre les chips et les olives… ils pourraient tirer leurs pattes du jeu.

Car en Occident la pratique de l’entomophagie revient au goût du jour. L’insecte serait l’ouverture de portes culinaires et gustatives infinies. Certains parlent même de la solution à la faim dans le monde. Les possibilités autour de cette pratique sont en effet immenses. Un nuage de sauterelles peut comprendre jusqu’à 400 millions d’individus, soit 4.000 tonnes de protéines. La teneur en protéine étant, pour un même poids de matière, 3 à 4 fois plus élevée chez les insectes que chez le porc ou le poulet.

Cela ne suffira certainement pas à vous convaincre de passer à la quiche aux vers luisants ou au cake aux cigales. Notre culture résiste. L’idée de consommer des insectes nous répugne encore, y compris à Koh Lanta.

Alors nous vous proposons 3 moyens de faire un premier pas en douceur :

– D’abord renseignez vous, afin de commencer à peut-être envisager l’éventualité de l’expérience. Le livre Insectes Comestibles aux éditions Plume est une référence. Une première partie qui vous explique les origines de l’entomophagie, une seconde qui présente les insectes comestibles et les transformes en adorables petites choses, et une troisième avec une liste de 14 recettes.

– Ensuite, tentez-la soft : l’apéro entre amis. Un moment forcément convivial. Micronutis ou Jimini’s vendent leurs produits en ligne. Vous pourrez également trouver les apéritifs Jimini’s et leur packaging design chez certains distributeurs comme le BHV à Paris, les Lafayette Gourmet, les magasins Nature & Découverte et de nombreuses épiceries fines.

– Et faites confiance à un grand Chef, car il saura trouver l’équilibre des saveurs et des textures qui vous fera dire que finalement, c’est bon. Quelques références en la matière : l’Aphrodite à Nice, le Festin nu à Paris, ou, le must, chez le double étoilé René Redzepi au Noma à Copenhague.

Santé ! (c’est le but), et bon appétit !

Les enquêtes se suivent et se ressemblent pour 60 millions de consommateurs : trop de produits cosmétiques contiennent des agents toxiques. Si les effets à court-terme semblent satisfaisants, ils peuvent n’être en réalité que des cache-misère qui finissent par abîmer votre peau et affecter votre organisme.

Parabens, sulfates, filtres UV, sels d’aluminium… la liste des substances à bannir s’allonge chaque année. D’ici la fin 2015, la loi interdira l’utilisation du propylparabène et du phénoxyéthanol dans certains produits, notamment destinés à la toilette des nourrissons, et pourtant… Dans la dernière enquête menée par l’association de consommateurs, 6 lingettes pour bébé sur 9 contiennent des substances allergisantes, et 7 laits nettoyants sur les 10 testés ne sont pas jugés sans risque à court ou à long terme.

Quelles alternatives ? C’est dans ce contexte que s’est développé la slow-cosmétique. Un mouvement fondé en 2012 qui accompagne les marques souscrivant à « une démarche écologique et éthique fondée sur la volonté de promouvoir un mode de consommation naturel, sain et raisonnable de la cosmétique ». En un mot, consommer moins, mais mieux. Néanmoins, les produits labellisés slow-cosmétique restent encore trop peu nombreux et assez onéreux.

Et pourquoi ne pas vous essayer à la cuisine-beauté ? Vous fabriquez vous-même vos cosmétiques à partir de matières premières ; c’est bio, et c’est rigolo !

La référence des sites de vente en ligne d’huiles essentielles et de cosmétiques naturelles est AromaZone. Notez que le premier achat sera le plus conséquent, puisqu’il vous faudra vous équiper en pipettes, bécher, balance, fouet… la panoplie du parfait petit chimiste.

Difficile ensuite de s’y retrouver face aux 1600 références de l’enseigne. Il est donc vivement recommandé de s’initier à la cosmétique do it yourself avant de se lancer, sinon votre lait hydratant pourrait avoir la texture d’un yaourt Bonne Maman.

AromaZone propose des livres de recettes remplis de conseils et d’explications qui vous éviteront de faire les erreurs du débutant. Plusieurs vidéos recettes sont également mises en ligne par l’enseigne ; c’est très kitch, et on se demande d’abord s’il ne s’agit pas d’un film érotique, mais c’est bien fait.

L’idéal reste encore de participer à un des nombreux ateliers thématiques organisés par Aromazone dans son unique boutique à Paris.

 

AromaZone

25 rue de l’Ecole de Médecine, Paris 6
04 73 34 37 88

Ouvert du mardi au samedi de 10h à 20h30 les dimanches et jours fériés
Ateliers 1h à 19€, 2h à 35€, 3h à 49€, 4h à 65€

Des bocaux du Père Blaize aux tasses du Petit Nice : voilà le parcours décomplexé des tisanes de l’herboriste marseillais pour aider à la digestion des convives de l’étoilé Gérald Passédat.

Lorsqu’en 1815, Toussaint Blaize quitte ses Hautes-Alpes natales pour « descendre » à Marseille, ce guérisseur de village détenteur d’une culture ancestrale et passionné de plantes n’imagine pas passer à la postérité. Il ouvre une échoppe d’herbes médicinales à deux pas du Vieux Port et profite de cette proximité pour s’intéresser aux plantes exotiques provenant du Moyen Orient, d’Asie ou d’Amérique.

Il invente la « tisane de longue vie », et bien lui en prend, car à une époque où l’espérance de vie ne dépasse pas 45 ans, lui vit jusqu’à 90. Quoi de mieux comme publicité ?

Aujourd’hui, Martine Bonnabel-Blaize, son arrière-petite-fille perpétue la tradition dans un magasin devenu pharmacie-herboristerie dont la devanture est restée intacte depuis 6 générations. Une fois passée la porte, la mémoire et les sens s’éveillent, dans ce décor à l’ancienne, lambrissé, avec son imposant comptoir, ses casiers en bois, ses tiroirs alignés regorgeant de plantes aromatiques, médicinales, exotiques, d’épices et d’huiles essentielles aux subtiles senteurs.

S’entassent aussi désormais les cosmétiques bios, et les produits diététiques, compléments alimentaires en gélules, comprimés ou ampoules passés par la filière pharmaceutique. L’engouement récent pour les médecines naturelles, la démarche écolo, la culture du bio ont donné un coup de jeune à la clientèle tradi et toutes les tranches d’âge s’y côtoient.

Revenons aux tisanes, des noms évocateurs qui nous informent sur les indications et les vertus de chacune des plantes : « tête légère », « sérénité », « éclat de la peau », « des chanteurs », ou « de Noël », tisane apaisante du sinus, du colon, du foie, des articulations, des reins, à base de plantain, de bardane, de berce, de sarrette, de verveine et de réglisse ratatinée, et puis aussi les tisanes détente, détox, digestive, dynamisante, drainante… à consommer pour tout soigner et même pour le plaisir.

La liste n’est pas exhaustive et si vous voulez en savoir plus, voilà de quoi vous aider.

 

 

Père Blaize
4 et 6 rue Méolan, Marseille 1

La nuit tombe sur Gotham City, la ville s’endort, loin d’imaginer que nos petits héros s’apprêtent à jouer les justiciers de cours de récré…

Et oui, leur univers est si riche qu’il nous laisse rêveurs, à tel point qu’on aime les aider à le cultiver.

Qu’aiment-t-ils le plus ? S’imaginer être le personnage de leur rêve!

Alors pourquoi ne pas leur offrir cette chance, tout en pensant pratique, confortable et accessible?

Attaché à l’énergie des couleurs, et à l’imaginaire de l’enfant, Du Pareil Au Même propose chaque saison une nouvelle thématique de pyjamas déguisements pour petits et moins petits.

Cet été, nos petits monstres pourront exaucer leur rêve et devenir leur super-héros! La nuit tombée, ils laisseront leurs jouets de côté pour se mettre dans la peau de Super Cosmic ou Super Héroïne de la Nuit!

Ces pyjamas existent en grenouillère pour les plus petits, et 2 pièces pour les plus grands. Brodés, imprimés, à paillettes ou molletonnés, ils sont accessoirisés d’un masque ou d’une couronne pour que petits, grands, filles, et garçons aient le pouvoir avec eux!

Pour les plus audacieux, Kid Them All s’est également lancé dans l’aventure, avec une collection réalisée en série limitée par des artistes issus du street art, du graphisme et de l’illustration.

Les pyjamas déguisements sont entièrement imprimés de motifs aussi forts que fous, avec ici aussi l’accessoire adéquat pour compléter la panoplie de ces joyeux personnages. Garantis anti-cauchemar, chacun d’entre eux nous font déjà voyager avec leurs petits noms : Bibi Scoto, Bhou Boule, ou encore Yummi Yummi.

Quelque soit le personnage, nos héros se réveilleront fiers d’avoir décroché la lune, et vous n’y serez pas pour rien.

 

 

Pyjamas déguisements
Chez Du Pareil Au Même à partir de 23,95€
Chez Kid Them All à partir de 49€

La mode est au regard broussailleux. Brow Bar, ou si vous préférez, bar à sourcils, c’est là que vous trouverez à qui parler pour avoir le sourcil mode.

La marque de cosmétiques Benefit, propriété du groupe LVMH, a investi certains magasins Sephora, également propriété du groupe LVMH, pour y installer des bars à sourcils.

Il ne s’agit pas, comme son nom l’indique, de comptoirs où vous pouvez acheter des sourcils, de toutes les couleurs, textures, formes, à l’unité, par deux, par trois, pour ensuite vous les coller au dessus des yeux ou en faire des porte-clés tendance. Non. Nous l’appellerons donc Brow Bar, afin d’éviter toute confusion.

Le Brow bar est un endroit où l’on vous propose une épilation, une coloration et un soin des sourcils sur mesure, en vingt minutes et sans rendez-vous. Terminé les sourcils droits ratés parce que vous êtes gauchère (ou gaucher), et les rendez-vous chez des esthéticiennes hors de prix et aux sourcils Pierrot le clown peu rassurants.

Dans les corners Brow bar des boutiques Sephora, vous serez accueillie par une esthéticienne Benefit qui parle des sourcils avec passion, et de l’épilation comme d’une discipline artistique. Elle saura vous conseiller sur la forme de sourcil la plus adaptée à votre visage et vous donnera toute une série de conseils pour que vous aussi, vous maitrisiez la taille du poil supra orbital.

Comme utiliser des enlumineurs ; plus naturels, plus étoffants et de plus longue tenue, ils vous aideront éventuellement à compenser le manque lié aux épilations sauvages des dernières décennies, et retrouver ainsi un beau regard broussailleux.

Si ce n’est pas suffisant, il vous reste toujours la médecine esthétique ; les micro-greffes de sourcils sont de plus en plus demandées dans les cliniques. Il s’agit de prélever des cheveux, la plupart du temps sur la nuque, et de les réimplanter dans le sourcil. Mais attention, il s’agit de cheveux, et donc : ça pousse. Il ne faut pas oublier de les couper de temps en temps ! C’est indétectable, sans cicatrice et sans douleur … sauf peut être pour votre budget.

 

Trouvez ici le Brow bar le plus proche de chez vous !